"Là où on s'aime, il ne fait jamais nuit."

vendredi 4 décembre 2009

Unbelievable.


He was so special, so handsome :)

" I heard his shouts, I followed them, I dreamed about its all night "

mercredi 25 novembre 2009

Et ce soir là, je repensais encore à tout ça...



 Mais moi, tu me dis "chiche"..et c'est bon.

Comme un passage à tabac permanent, où mon coeur nonchalant, serait éparpillé un peu plus chaque fois. Comme un cadavre étalé, écoeurant mais envoutant, auprès duquel passent le public sans y prêter grande attention. Comme si ce "toi", plantait ses yeux vertigineux au plus profond des miens, sans jamais cligner ou sourciller. Tant de comparaisons possibles à tout ce qu'endure une âme vouée à la solitude. Je parle de la solitude intérieure, cette solitude qui nous ravage et nous fait nous sentir follement différent. Cette solitude qui s'empare de nous au sortir de l'enfance, qui nous dévore mais nous rend plus fort. Envoutante oui, comme ce cadavre, se sentir seule, seule, salement seule avec son esprit. Mais y'a que ça de vrai. Y'a que ça de beau. Se sentir seule, seule, salement seule avec son utopie.




T'es quand même qu'un sale con, t'es quand même qu'un sale con... 

mercredi 11 novembre 2009

Et je m'en vais, clopin, clopant...


Une brise glacée sur le visage puis une bourrasque dans le coup. La fraicheur d'un été terminé et d'une saison où le temps semble se suspendre. La routine des années, qui fait oublier qu'en un instant tout peut toujours basculer. Songer à la prochaine fois, ou au prochain toujours, pour se dire que plus tard on réalisera ces rêves qu'on faisait tous les soirs pour s'évader. J'ai toujours en moi les souvenirs d'hivers magiques et froids, cette période de l'année où un enfant ne s'arrête jamais de rêver. Puis aujourd'hui..plus rien, plus d'envie, plus d'espérance, plus de magie. La réalité, pire ennemie  de l'enfance, que l'on menait tous avec joie et naïveté. Les jours qui défilaient à 100 à l'heure, du temps où l'on ne voyait que les genoux des gens, et les sacs des passants. C'est drôle comme le temps passe vite. Je ne me rend même plus compte.. Tous change, puis tout dérange. Je continu à m'imaginer, et je continuerai. Par peur de terminer dans la banalité.
WILD ROAD

dimanche 8 novembre 2009

"La ritournelle. Celle qui est dictée au premier regard, à la première présence. La tienne. Et cette ritournelle c'est la mienne celle qui te suivra toujours, qui marchera derrière chacun de tes pas et qui t'aimeras autant qu'elle le pourra."